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Zuum
1 juillet 2012

Another.

Another day in Paradise.  Imaginons cela déjà. La vie est un paradis. Si cela est admis on a déjà franchis pas mal d'obstacles. 

Another day in Paradise, donc.  Partir de ce point c'est déjà partir de loin. D'un bon bout de chemin. Le sien ou celui d'un autre qui vous en a gentillement fait part. Partir de cette constation, cette douce et chouette idée c'est déjà admettre que la vie est positive. Comme voir le verre à moitié plein. Au final y'a toujours moit'-moit'... Il faut juste faire un choix. Pour certains la balance penche vite. Mais à sous-estimer ce que l'on fait des choses, on devient quoi?

Another day in Paradise, again.  Partir de là c'est choisir. Pour aujourd'hui se sera ça. Pour demain... On verra. On verra demain. On verra plus tard. Un autre jour encore. In Paradise, peut-être. Pas sûr. Partir du même point, tous les jours, on arrive à un endroit différent chaque jour? Ou bien est-ce-que le chemin par lequel on passe une fois, on le prend toutes les autres fois? A quoi bon chercher la réponse. Changer le point de départ. Admettre qu'on peut changer le point de départ. Admettre que ça change, en fait.

Another day in Paradise, always? S'arrêter au 23 novembre 2009. "Ces maigres heures n'y changeront rien." Un pêle-mêle a priori. Et si cette fois elles pouvaient y changer quelque chose, ces maigres heures? T'as raison, c'est tell'ment bon un baiser. Pardonne-moi. Barre-toi. Am I game, dis? Et cet écho qui revient. Chaque article. Chaque mot un peu trop pensé, poussé. Toujours la même source. Le même point, alors? Incapable de le faire mais capable de le dire. 

Another day in Paradise, putain.  Keep your head up. Keep your arms up. Dévaler, et vite. Trop vite en soi. Mais dévaler j'ne sais quoi, j'ne sais où. Ce qui compte c'est la chute, pas l'atterissage. S'en foutre de la fin. Attrapper la suite par la main. Viens, on y va. Jamais de fin, t'façon.  Toujours tout continue. To be continued... Revenir en arrière et finir ce que l'on a commencé, ou avancer. Ne pas toujours choisir la même solution. Tu cherche quoi? No, no, no, no. Keep your heart slow. Essayer de s'en foutre. Complètement. S'en foutre, putain! Peu importe. Pas grave. Pas important. Et alors? M'intéresse pas de savoir. M'intéresse pas. Keep your mind free. Plz. Thx. Picky, busy and wait-for-me. Y arriver sans le jouer. Pas de semblant. 

Another day in Paradise, oui.  Un arpège. Ou deux. Voler. J'veux voler. Faites-moi voler. Cap' de t'taire pendant 10 ans, dis? Bouffe-moi. Dis, tu m'apprends? Je te hais, pour ça. Apprendre d'un voleur. Prendre et se faire voler. Merde. Odilon te massacrera comme tu l'as massacré. Valentin te hait autant que tu le hais. Mais Odilon... Ah oui. Une baffe. Une vraie claque. Avec trente-sept chandelles, une de plus pour l'effet voulu.

Another day in Paradise, ailleurs. Trouver un chez soi. Chercher puis trouver. Sans jamais y être vraiment. But it's not your fault but mine. The cave. Réécouter. Revoir. Les réveils. Les couchers. De soleil. De deux. A deux. Réimaginer. Revivre, presque. Les couleurs, les sons. Le toucher, même. Retraverser. Parce-que quand on traverse on ne sait rien. On n'est pas prévenu, c'tout. N'importe quel moyen. Transport... Tiens parlons-en de ces trucs. Ces transports à la con. Ouais, eux. Eux qui vous font choisir, d'un coup. Agir, d'un coup. Penser, tout haut. Alors que... Ferme la et danse! Oui, ferme la et danse! DANSE! Remplacer un défouloir par un autre. Dans l'impossibilité de faire. De se défouler. Ou de le remplacer, alors quoi? Et la solution? Paraît qu'y'en a toujours une. 

Another day in Paradise, ici.  Sans avoir besoin de partir bien loin. Tout trouver sous son nez. Alors qu'on cherche. Tout est là. Tout est là? I know my name. I know et c'est suffisant pour ici. Pour là-bas. Pour... Peu importe. Coupé. L'herbe sous le pied. Coupée. Couper. A accorder selon. Gros malin. Gris. Gris et gros.  Attendre la violence, sans savoir, derrière une porte. Se la recevoir, plein fouet. Derrière la porte pire qu'en direct. Bien pire. Et ne rien voir. Ne rien pouvoir voir. Se priver de la vue. Recevoir juste. C'beaucoup plus fort quand on n'voit rien. La désaffection peut se créer. De la naissance d'une idée. A son application réelle. En incluant les autres. Ces humains. Ceux qui ne comprennent rien. Ceux qui ne chercheront jamais à comprendre parce-que rester là est plus simple. Faire ça parce-que. Et puis se dire que finalement c'tait pas cette raison-là.

Another day in Paradise, là.  Un bon début. Jusqu'où peut aller le début? Et où commence la fin? On l'sait qu'après la fin. Qui au final n'arrive jamais vraiment. On l'invente, la fin. Parce-qu'il en faut une. Pour rassurer. Pour rattacher. Pour concrétiser. Rationnaliser. Ranger dans un tiroir, le ferme et zou'. Am I wasting my time? Probablement. J'ai qu'ça à faire, pour le moment. Autant le perdre dans la joie. Dans quelque-chose d'agréable. Et quand j'aurais plus le temps, j'arrêterais de le perdre. Bonjour, double sens. Lapsus caché. Vérité à la con qu'on aime pas découvrir. Broken mind. Broken autre chose. On s'en fou. Pas là pour ça. Même si...

Another day in Paradise, ...  

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